L'amour existe t-il vraiment ? [ Alexandre]

La nuit était enfin tomber sur la city de Rome. En ce moi de Juillet les rues étaient toujours aussi pleine et la lourdeur de cette chaude journée ce faisait ressentir. Ma journée de repos. La première depuis des mois d'entraînement à souffrir pour devenir le meilleur. A souffrir pour combler l'absence de ce père qui me manquait. Certes, j'avais Théodore et Emmanuel comme parents de substitution mais ma relation avec Théo avait causer pas mal de problème sur le couple en question. Je m'étais sentit coupable, pas vraiment durant toute ses années mais avec le recul j'avais réaliser les choses autrement. Je voulais suivre la trace de mon paternel, bien que Théodore n'approuvait pas réellement mon choix. Nous nous étions quereller une fois de plus, puis finalement après que sa sentence eu l'impacte de l'épée de Damoclès au dessus de ma tête, j'avais fait mes valises et quitté le Manoir à sa demande. Ce choix m'avait fait mal, surtout que je n'avais toujours connu que le Manoir. Une fois de plus je me rappelais cette dispute, une fois de plus, je savais que seul l'alcool calmerait ma tristesse et ma douleur. De l'avoir blesser mais aussi d'avoir trahit les seules personnes que je connaissais bien.

Entre temps, j'avais pris ma veste. Je marchais paisiblement dans les rues et rejoignais mon Nigh-club habituel. Un petit établissement simple, un lieu de débauche ou tout les plaisirs étaient permis. Sans doute inconsciemment j'en avais besoin ? Mais je me refusais à ce que quelqu'un d'autre ne me touche. Après tout j'avais été donneur. Mon corps en avait subit les désagrément que cela demander. Je ne pouvais me donner a n'importe qui. Un simple mortel me questionnerait sans doute sur mes nombreuses morsures et cicatrices que je portais. Inutile de mentir, impossible de lui dire la vérité. Qu'est ce que je fichais la ! J'étais con vraiment ! Le serveur m'offrit donc mon verre comme je le lui avais demander. Je l'avalais cul sec puis j’enchaînais les verre quand soudain une légère voix où plutôt un sifflement tinta dans mon oreille. C'était désagréable. Mais l'alcool y était pour beaucoup. Je pouvais cependant apercevoir un jeune homme, sans doute plus jeune que moi mais plutôt bien foutu. Je l'observais en silence, le mal de crâne commençant a ce former au fil que Je me saouler comme un trou. «  - voulez-vous quelques chose ? »

Habituer au bonne manière et a l'éducation de Théo et Manu cela ne me ressemblait en aucun façon même si je ne souhaitais pas draguer de refusé un verre à quelqu'un. Ce n'était tout simplement pas mon genre.