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 «On passe une moitié de sa vie à attendre ceux qu’on aimera et l’autre moitié à quitter ceux qu’on aime. » Victor Hugo

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Mélyjade K. Norington

Mélyjade K. Norington


Messages : 2
Date d'inscription : 20/03/2016

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MessageSujet: «On passe une moitié de sa vie à attendre ceux qu’on aimera et l’autre moitié à quitter ceux qu’on aime. » Victor Hugo   «On passe une moitié de sa vie à attendre ceux qu’on aimera et l’autre moitié à quitter ceux qu’on aime. » Victor Hugo Icon_minitimeJeu 31 Mar - 23:08


Mélyjade K. Norington
«Je ne veux désormais collectionner que les moments de bonheur» Stendhal
 

Bonjour ou bonsoir, mes p'tits lapins sucrés. Mon nom à moi, c'est Mélyjade Katherine Norington ! Je suis né(e) le 25 mai 1987 à Londres, Royaume-Uni. Je suis un(e) jeune canard(e) de 29 ans, classe non ? Un petit secret pour la route ; je suis hétérosexuelle et présentement célibataire. On me dit souvent que je ressemble à Alexis Bledel , en plus sexy. Parlant de sexyness, je fais partie du groupe Humain, et nous y sommes tous très sexys.


physique
On va faire ça short and sweet, qu'on peut traduire par court mais efficace en français même si ça sonne moins bien. Je suis une fille tout ce qu'il y a de plus ordinaire, 1m70, cheveux bruns qui ondulent un peu comme 90% des caucasiennes et yeux bleus. Ma peau est assez pâle parce que je sors rarement me faire bronzer, j'ai autre chose de plus utile à faire que de perdre mon temps à me donner le cancer de la peau. Pour le style vestimentaire, au travail j'ai pas le choix de porter mon uniforme d'infirmière d'un vert pas très avantageux alors que dans le jour j'opte normalement pour un simple jean et un haut confortable. Parfois je mets une jupe ou une robe pour des sorties, ce qui est relativement rare. Si vous êtes pointilleux et voulez plus de détails, allez voir des photos de moi, car comme on dit une image vaut mille mots.
caractère
On peut me considérer comme une personne très douce et altruiste, traits de caractères m'ayant mené au travail que j'accomplis aujourd'hui. Je suis aussi très sincère et franche, car je n'aime pas tourner autour du pot, mais je suis parfois naïve, ainsi je déteste les menteurs et les manipulateurs malgré que je me fasse facilement avoir par ceux-ci malgré moi. Je tente de me contenter de bonheurs simples, sachant que pour être heureux il faut seulement savoir profiter de petites choses du quotidien qui rendent notre journée meilleure. Malgré tout, je suis très sensible et donc peut être parfois facilement offensée ou blessée. Je ne suis d'ordinaire pas très rancunière, sauf contre ceux qui m'ont trahi ou menée en bateau, n'appréciant pas que l'on abuse de ma naiveté. Je suis rêveuse et déterminée, à accomplir mes idéaux, ce qui peut être ma force en quelque sorte, malgré que je suis parfois très têtue. Je supporte toutefois difficilement la solitude qui me pèse depuis plusieurs années. Si vous voulez en apprendre plus sur moi, prenez la peine de me rencontrer.

on ne change pas le passé
I: Tout inquiétude est justifiée

Dès ta naissance tu étais plutôt silencieuse, tu n'avais pas besoin de pleurer pour te faire entendre, car ta mère était toujours aux petits soins pour toi. Tu étais son petit trésor, sa chérie, sa princesse. Tu étais tout ce qu'elle désirait depuis si longtemps. Pour ce qui est de son père, tu étais sa petite protégée, celle qu'il voulait tenir à l'écart des dangers et des peines pour le reste de ton existence. Oui, tu pouvais dire que tu étais heureuse et choyée par ces deux parents si amoureux et attentionnés envers la petite fillette fragile que tu étais. Ils ne savaient pas encore à quel point tu allais devenir faible...

Peu avant que tu puisses souffler deux bougies sur ton gâteau d'anniversaire, tu commenças à avoir quelques soucis respiratoires et de digestion. Inquiets, tes parents te firent inspecter par le docteur. Ils s'inquiétèrent de ton état mais se disaient que ce ne devait être rien, une simple maladie courante, surtout que tu avais eu la rougeole quelques semaines plus tôt. Près de un à quinze jours plus tard pourtant ton état s'aggrava, ta tension artérielle de façon inquiétante et ils te gardèrent alors à l’hôpital, ton pouls quant à lui était anormalement élevé. Le diagnostique tomba comme une bombe sur tes pauvres parents: tu souffrais de la myocardite. La myocarde étant le muscle qui sert à pomper le sang était défaillant et entraîna une défaillance cardiaque. Tu passas presque seize mois dans cette prison tout de blanc peinte. Heureusement tu eus la force de surmonter cette difficulté et d'ainsi pouvoir retourner chez toi avec tes parents, saine et sauve. 

Le seul effet secondaire de ce long séjour sous les soins des médecins fut la surprotection que te prodiguèrent tes géniteurs. Ils craignaient plus que tout qu'un jour tu tombes à nouveau malade. Malgré leur inquiétude étouffante, tu arrivais à t'épanouir auprès d'eux. Ils tentèrent de t'offrir un petit frère ou une petite sœur, malheureusement ta mère ne fit qu’enchaîner les fausses couches. Ils arrêtèrent donc d'essayer afin de préserver le cœur de ta pauvre mère de toutes ces pertes. 

II: Notre première peine nous semble toujours la plus grave de l'univers

Tu fus toujours timide, que ce soit avec les adultes ou bien les enfants de ton age. Le seul ami dont tu étais proche à l'école et au-delà fut Axel. Tu ignorais pourquoi, mais il arrivait à te comprendre, pour la première fois tu avais un véritable confident et un partenaire de jeux. Tu le fréquentas du jardin d'enfant jusqu'au lycée même. Malheureusement tu le perdis alors que tu croyais pouvoir pour la première fois de ta vie voir éclore la fleur de l'amour en ton cœur. 

Tu avais maintenant quinze ans, une femme en développement qui s'intéressait de plus aux plus aux membres du sexe opposé. Tes soucis scolaires et sociales étaient tes seules préoccupations, tu étais dans la phase de l'égocentrisme de l'adolescence. Tout avait bien été jusque là, tu avais maintenant une meilleure amie en plus d'Axel. Toutefois, tu remarquas bien que ces derniers temps il n'avait pas beaucoup de temps pour toi. Tu ne comprenais pas puisque depuis peu il semblait éprouver cette même attirance qui te rapprochais de lui. Tu fis ta petite enquête sur la question et le surpris un jour, à la fin des cours, partir avec un homme. Un homme qu'il regardait avec tellement d'amour et d'étincelles dans les yeux que ton cœur en fut brisé en mille morceaux.  Ce bourgeon d'affection que tu éprouvais pour lui s'était fané avant même d'avoir éclot. Tu courus jusque chez toi où ta mère tenta tant bien que mal d'apaiser ta première peine d'amour. Malencontreusement, seul le temps pouvait guérir cette blessure, ta première grande déception de ton existence. Tu ignorais que cette tristesse que tu éprouvais alors n'étais rien...

III: Si seulement j'avais été là...

Deux hivers plus tard, tu revins de l'école. Il y avait aujourd'hui eut la première neige et tu avais prévu d'aller en profiter avec ton amie Cassandre. Tu arrivas à la maison plus tard qu'à l'accoutumée, ayant laissé un message sur la boite vocale afin d'en avertir ta mère. Tu arrivas dans l'entrée trempée de la tête aux pieds, pourtant tu n'avais pas froid puisque par soucis de protection tes parents te faisaient porter une veste, un pull ainsi que ton manteau d'hiver combiné a un cache cou, un foulard et enfin ta tuque. C'est avec une grande joie que tu retiras toutes ces couches superficielles qui allaient, te semblait-il, te tuer de chaleur. Tu lanças une joyeuse salutation à laquelle personne ne répondit étrangement. Intriguée tu te lanças à la recherche de ta mère, sachant que ton père était toujours au boulot. Tu fus la première à la trouver. Elle se trouvait sur le lit, un sourire planait sur ses lèvres et semblait dormir, pourtant cette vision te glaça le sang. A petit pas tu avanças en sa direction, ne voulant pas troubler son sommeil. Tu posas délicatement ta délicate main sur son bras. Sa peau glacée te fit frissonner. Tu la secouas tout doucement afin de la réveiller, devant son manque de réaction tu continuas ton geste en y allant de plus en plus fort, avec de plus en plus de désespoir. A un moment tu ne pus continuer de nier l'évidence. Tu accourus vers le téléphone et appela les urgences. 

L'ambulance arriva rapidement et firent monter sans mère dans une civière pour l'emmener à l’hôpital. Tu avais déjà appelé ton père pour le prévenir, cependant il était coincé dans les bouchons de circulation. Tu fus donc celle qui eut le privilège de monter dans le véhicule à ses cotés. Les ambulanciers te demandèrent de prime abord si elle avait eu des complication au niveau de la santé ces derniers jours. Tu mentionna ses nombreuses migraines, où sa mère subissait de terribles maux de tête et où elle voyait flou parfois. Son corps se rendit à l’hôpital, mais il était déjà trop tard pour elle. Cette fois, ce diagnostic ne fut pas qu'une simple bombe comme le tien, il s'agissait d'un missile nucléaire: un anévrisme cérébral. 

IV: Nos amis ne sont jamais là lorsque nous avons besoin d'eux

Jamais tu n'avais autant regretté le fait d'être arrivée plus tard de l'école. Tu te répétais sans cesse que tu aurais pu la sauver si tu avais été présente à ce moment, et ce malgré les médecins qui t'assuraient que ta présence n'y aurait rien changé. Cassandre tenta de t'aider, mais elle n'avait pas les épaules sur lesquelles tu souhaitais pleurer. La seule personne dont tu souhaitais qui te console était ce jeune garçon, ton ami de toujours, qui était si fort et qui savait exactement comment te faire sentir mieux. Malheureusement, Axel avait quitté ta vie il y avait près de deux ans maintenant, depuis que tu avais su pour lui et l'homme, tu le fuyais et il semblait si heureux avec son aimé qu'il ne semblait même pas avoir remarqué ta fuite. Au moins tu avais ton père auprès de toi, à deux vous vous souteniez afin de surmonter à deux cette énorme perte. Encore aujourd'hui un lien indestructible existe entre vous, il ne cesse de t'appeler et pourtant tu n'en es pas agacée, toi aussi le fait de le savoir vivant à tous les jours te rassure.

V: Notre avenir consiste à affronter nos démons du passé

Seulement, tout adulte doit un jour quitter le foyer pour les études. Souhaitant devenir infirmière et ayant eu de bonnes notes scolaires malgré ton deuil, tu parvins à être acceptée par une université bien reconnue. Le seul inconvénient était qu'elle se trouvait bien loin de ta maison, loin de ton père et que tu devais donc déménager et vivre seule pour la première fois. Tu as aujourd'hui terminé tes études et travaille comme infirmière, avec des patients parfois particuliers arborant d'étranges morsures...  Tu étais bien loin de te douter que cette nouvelle vie allait faire revenir des fantômes du passé, ou plutôt un fantôme: celui qui n'était pas là au moment où tu avais le plus besoin de lui.
 


derrière l'écran
 Mon pseudo c'est tout simplement mon prénom, Kariane avec un N, j'ai 19 ans et malgré que j'adore les rps, ma priorité du moment est mes études. Donc je vais faire mon possible pour être là le plus souvent possible mais je ne garantie pas d'être là tous les jours.


fiche by Anthemis.
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Bienvenue Very Happy
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Bienvenue Smile
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Mélyjade K. Norington

Mélyjade K. Norington


Messages : 2
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Merci à vous deux Very Happy
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Emmanuel Nightingale

Emmanuel Nightingale


Messages : 59
Date d'inscription : 20/03/2016
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